La playlist pour se motiver

 

Cette semaine, nous allons fêter pas mal de choses…

Certaines sont futiles comme le fait que j’écrive actuellement mon 200ème article ! Ouéééééééééé ! (ça me donne un peu le tournis… je vais m’asseoir, tiens! :$)

Certaines sont importantes comme l’arrivée du mois de février… synonyme pour certain(e)s de crèpes, pour d’autres de Saint-Valentin, pour d’autres encore de vacances aux sports d’hiver ou encore de bouchées doubles au travail !! Je pense bien fort à vous, quel que soit le synonyme que vous aurez choisi ! ;)

 

Certaines sont capitales… comme l’anniversaire de ma petite sœur qui soufflera ses 19 bougies demain !

 

Ainsi, pour commencer Février comme il se doit, ma playlist de la semaine ne sera pas axée sur un mot en particulier mais elle se voudra pleine de fines bulles de champagne, de funky et d’optimisme !!

Histoire de vous transmettre de l’énergie, de la bonne humeur et un max de courage pour débuter cette jolie petite semaine…

 

 

Pour les fans d’HIMYM, c’est un peu une playlist à la Barney… avec pour thème “Don’t Stop, Never Give Up !”

 

– Are You Here [Corinne Bailey Rae]

– The Rising [Bruce Springsteen] (en ce qui me concerne, je trouve rarement mieux que Bruce pour me filer la pêche mais bon… j’admets ne pas être très objective à propos de cet artiste !)

– Lullaby Für Kinder [Paul Weller]

– Call The Police [James Morrison] (ah Jamesssss…)

– Us [Regina Spektor]

– Eldorado [Stephan Eicher] (sur CD, il est déjà top mais en live, ce morceau est un des plus prenants qu’il m’est arrivé d’écouter !)

– One Fine Wire [Colbie Caillat]

 

Happy Weekly Playlist et bon mois de février !!

 

James Morrison – L’info croustillante en mode furtif !

 

Une info en coup de vent !

 

Je viens d’apprendre que James Morrison sort une version deluxe de son deuxième album “Songs For You, Truths For Me” le lundi 16 novembre !  Très très bonne nouvelle pour votre blogueuse en carton !!

 

Voilà comment s’articulera cet album “de luxe” :

 

Disc 1

1.   The Only Night

2.   Get To You (cf. Humeur du 7 novembre – James Morrison à l’Olympia)

3.   You Make It Real

4.   Broken Strings (avec Nelly Furtado)

5.   On The Same Side 

6.   Nothing Ever Hurt Like You

7.   Please Don’t Stop The Rain

8.   Save Yourself

9.   Once When I Was Little

10. Precious Love

11. Of You Don’t Wanna Love Me

12. Fix The World Up For You

13. Dream On Hayley

14. Love Is Hard

 

Disc 2 (live acoustique – The Basement Sessions) 

1.  You Make It Real

2.  Once When I Was Little

3.  If You Don’t Wanna Love Me

4.  You Give Me Something

5.  Broken Strings

6.  Wonderful World

7.  Man In The Mirror (la reprise de Michael Jackson)


Mini légende home-made : en gras = les nouvelles chansons ! 


A propos des Basement Sessions, James nous explique : “Basement Sessions is just me, an acoustic guitar and my keyboard player putting the songs down like I write them, pretty raw but quite intimate.” (faudrait lui dire qu’on dit toujours “me” en dernier, c’est plusss poli ! )


Ce package promet d’être extra… J’aime le marketing quand on me propose des trésors comme ceux-là !

 

Les 200 premières commandes recevront en plus un T-shirt avec James dessus et leur album sera dédicacé par la main du british.

 

Viens chercher bonheur ! 

 

Zuit… (…le bruit de l’info pour ceux qui n’auraient pas suivi…)

 

[Live Report] James Morrison à l’Olympia

 

James Morrison à l’Olympia

 

J’avais assisté à son premier concert français à l’Elysée Montmartre pour la promotion de son premier album “Undiscovered” en 2006. Il était encore jeune. Il était charmant par son manque d’expérience, sa fragilité et sa fraîcheur. Encore en quête de repères, il s’était restreint à faire une version live (bien qu’excellente) de son album.

 

 

Le James Morrison de ce 6 novembre était un autre homme ! A peine monté sur scène, il a pris possession des lieux et a imposé son style désinvolte !

 

En retravaillant ses titres, il leur a donné encore plus de puissance et d’énergie mais surtout plus de maturité. Pour ceux qui, comme moi, sont fans de sa voix rauque et de ses yeux bleus (je suis très influençable mais je me soigne…ou pas), ce concert a été une redécouverte !!

 

Dans mon entourage, nous avons toujours comparé James Morrison à Bruce Springsteen jeune : toute cette fougue, cet enthousiasme et aussi cette touchante simplicité… Physiquement, nous retrouvions la même dégaine de loustic insatiable, curieux et intrépide !

 

En 2007, James a assisté à l’un des concerts du Boss avec le E Street Band. Il a trouvé en eux un modèle deperformer à suivre.

Et, il y a tout juste quelques mois, il a enfin rencontré Bruce lors du Hard Rock Calling de Hyde Park (à Londres, pour ceux qui n’auraient pas suivi). Ce dernier lui a prodigué de judicieux conseils…

Du coup, on comprend mieux sa métamorphose scénique !

 

Encore loin des 3h de show du Boss et de ses acolytes, James Morrison s’est tout de même donné à 1000 % pendant plus d’une heure et demie. Et comme Bruce, il s’est amusé avec ses chansons :

 

La setlist :

–  The Only Night
–  Save Yourself
–  This Boy
–  Please Don’t Stop the Rain
–  On The Same Side
–  Get To You
–  Love Is Hard
–  You Make It Real
–  Broken Strings
–  If You Don’t Wanna Love Me
–  Under the Influence
–  Call The Police / Use Me (Bill Withers cover)
–  Precious Love
–  Nothing Ever Hurt Like You / Uptight (Stevie Wonder cover)
–  You Give Me Something
–  Man in the Mirror (Michael Jackson cover)
–  Fix Up The World For You
–  Wonderful World

 

Savant mélange de ses deux albums !

Il nous a surpris sur des reprises de Bill Withers, Stevie Wonder ou encore Michael Jackson. Il a choisi de les intégrer à ses propres compositions ; prenant des libertés avec les rythmes et les constructions ; s’appropriant entièrement les oeuvres des plus grands.

 

 

Mais là où James Morrison est réellement devenu un Grand Artiste, c’est qu’il est désormais apte à nous faire ressentir une palette d’émotions beaucoup plus large qu’auparavant. Il n’est pas seulement capable de nous transmettre sa fougue ou son enthousiasme…

 

Il m’a aussi sérieusement secouée sur les titres “If You Don’t Wanna Love Me” et “Love Is Hard”. En outre, ces morceaux acoustiques ont démontré aux sceptiques qu’il avait un grain de voix hors du commun.

Il a réussi à me faire éprouver tour à tour du chagrin, des regrets, de l’espoir, de la compassion, de la colère et même de la haine ! (moi qui suis tout ce qu’il y a de plus pacifiste…)

 

Je suis extrêmement sensible à ce genre de performance car c’est comme ça que j’aime vivre la musique. A mon sens, elle doit être un vecteur d’émotions. James a rempli son rôle de messager à la perfection.

 

Je suis convaincue qu’il a une longue carrière devant lui. Les James Blunt et Jason Mraz auxquels on l’associe trop souvent s’essouffleront bien avant lui…  Vous m’en reparlerez dans quelques années…

 

 

PS : J’ai eu une révélation sur l’une de ses dernières chansons : “Get To You”.

Depuis que je suis rentrée, j’ai dû l’écouter un bon milliard de fois…

 

 

Bonne journée !