Alexandre Astier - Que ma joie demeure

La saison été 2013 des concerts est ouverte !

C’est parti pour un tourbillon de concerts tous plus sensationnels et uniques les uns que les autres.

 

1. MERCREDI 3 JUILLET

A commencer par The Who le mercredi 3 juillet à Bercy !

Concept à la mode, le groupe revient présenter “Quadrophenia” 40 ans après sa sortie (1973).

 

The Who - 3 juillet à Bercy

 

La formation originale complète ne sera pas au rendez-vous bien sûr, Keith Moon et John Entwistle ayant décidé de rejoindre Michael Jackson et Elvis Presley sur leur île perdue.

En revanche, Roger Daltrey et Pete Townshend seront de la partie et bien accompagnés puisque Pino Palladino (bassiste du groupe depuis 2002),  Zak Starkey (fils de Ringo Starr s’il vous plaît, batteur of course), Simon Townshend (guitariste, voix et frère du Pete) et sans doute un claviériste se joindront également à eux.

 

2. SAMEDI 13 JUILLET 

Verte de n’avoir pu me rendre au concert de Bruce Springsteen au Stade de France le 29 juin, j’ai craqué et pris mes places pour son concert au Festival TW Classic de Werchter le 13 juillet.

Ce festival belge promet une journée de concerts de haute volée. On y retrouvera Balthazar, Blondie, Ben Harper et Charlie Musselwhite, Santana, Keane et pour finir Bruce et son E-Street Band !

 

Festival TW Classic 2013 à Werchter avec Bruce_Springsteen

PS : Le destin s’acharnant, j’ai finalement dû annuler ma visite au Boss… en espérant qu’il décide de continuer sa tournée en 2014… (l’espoir fait vivre!)

 

3. SAMEDI 20 JUILLET

2013 est mon année ! Voyez-vous, je serai au concert de mes deux idoles éternelles à une semaine d’intervalle.

Rickie Lee Jones se produira en effet au New Morning le samedi 20 juillet dans le cadre du Festival “All Stars”.

 

Rickie Lee Jones au New Morning - Festival All Stars

 

Je suis très émue à l’idée d’y aller vu que ce sera la toute première fois que je la vois en live, les occasions étant rares.

Je m’y rendrai donc toute timide, mon attirail de fan sous le bras dans l’espoir de repartir avec un sourire, un autographe et une petite photo.

 

4. JEUDI 12 SEPTEMBRE

Jamie Cullum prend possession de la Grande Halle de la Villette à l’occasion du Festival “Jazz à la Villette”.

Impatiente de le voir, j’espère entendre la version live de “Music is Through” (The Pursuit) et “Sad, Sad World” (Momentum)

 

Jamie Cullum - Concert  - Halle de la Villette

 

5. JEUDI 19 SEPTEMBRE

Pas un concert à proprement parler mais Bach nous fera quand même l’honneur d’être présent en la personne d’Alexandre Astier pour le spectacle “Que Ma Joie Demeure” à la Salle Pleyel.

 

Alexandre Astier - Que ma joie demeure

 

Avec la sortie exclusive de la saison 3 d’HeroCorp cet automne, décidément les (demi) frères Astier me font languir cette année !

 

6. DIMANCHE 6 OCTOBRE

Yeah Baby !! Macklemore & Ryan Lewis en concert au Zénith de Paris.

Après la tornade qu’ils ont provoquée cette année, il était impensable de manquer cet événement !

Et même si c’est très étrange d’aller voir un gros concert un dimanche soir, je serai là et je compte bien porter de la fripe clinquante (cf. leur tube “Thrift Shop“) !

 

Macklemore & Ryan Lewis en concert à Paris

 

7.  MARDI 15 OCTOBRE

Le gourou Peter Gabriel sera à Paris le 15 octobre pour fêter les 25 ans de la sortie de l’album “So”.

Cet album, que je considère comme une bible, regorge de petits bijoux de l’Histoire Musicale. “In Your Eyes”, “Don’t Give Up”, “Sledgehammer“, autant de classiques qui démontrent le génie de ce visionnaire multicasquette.

 

Peter_Gabriel_concert_zenith

 

 

8. DIMANCHE 24 NOVEMBRE

Le bluesman ricain Popa Chubby viendra défendre son dernier album “Universal Breakdown Blues” au Trianon, salle que j’affectionne tout particulièrement. Comme toujours, le concert risque de valoir le détour quand on connaît le charisme et la puissance du bonhomme.

 

Popa_Chubby_concert_Trianon

 

Enfin, il semblerait qu’un petit Tété se profile le 10 décembre au Casino de Paris…

Riche moisson de concerts à venir cette année !

 

 

 

[Live Report] James Morrison à l’Olympia – The Awakening

 

James ! James ! James !

Je bouillonne d’impatience, je tape des pieds, je saute sur place comme une idiote…

Comprenez-moi, James Morrison se trouve à quelques mètres de là, derrière cette grosse porte battante noire.

Et je n’en peux plus ! Deux ans que j’attends ! DEUX ANS !

 

 

Entre lui et moi, c’est devenu un rituel.

Tous les deux ans, le rendez-vous est fixé à l’Olympia. Il promet de me faire danser, de me faire chanter, de m’émouvoir …

D’autant qu’avec son dernier album “The Awakening”, il a rendu cette rencontre d’autant plus indispensable, le malin.

 

Alors que les lumières s’éteignent dans la salle et que le public retrouve son énergie, James s’amuse à tester mon sang-froid.

Ses musiciens, complices, font sonner les premières notes de “Beautiful Life” dans une intro soul à souhait.

Je me contorsionne, essayant de comprendre la raison des cris soudains de la foule et enfin, je l’aperçois !

James est à l’Olympia.

 

© Mike Gray/LFI

 

J’inspire à pleins poumons, je ferme les yeux et je plonge dans son univers, happée par sa voix rauque et groovy.

 

Je dois avouer que j’ai été épatée par son aisance.

Je ne parle pas de son aisance musicale car c’est une qualité que je lui reconnais depuis le début.

Non, je parle de son aisance scénique.

 

© Tous droits réservés par NikiTownsend

 

James se lâche, fidèle à lui-même.

Il n’en fait pas trop, ne cherche pas à être quelqu’un d’autre.

Il reste le gamin foufou que l’on avait rencontré il y a 5 ans sur la scène de l’Elysée Montmartre.

Espiègle, il joue avec son public.

 

Je passe un moment délicieux…

Je redécouvre la fraicheur des morceaux de son 1er album comme “This Boy”, “You Give Me Something” mais également des chansons de “Songs for you, Truths for me” avec notamment un “Broken Strings” à peine murmuré.

 

Sur “The Awakening”, mes coups de cœur ont été confirmés.

J’ai été secouée par la version live de “In My Dreams” où l’orchestration accentue encore l’émotion palpable de James.

 

© ABACA

 

Par ailleurs, pour la 1ère fois, l’artiste révèle son potentiel comique.

Il introduit “One Life” en nous contant des anecdotes cocasses sur sa fille de 3 ans, future mini superstar.

James nous explique ensuite sa rencontre imaginaire avec Michael Jackson, un soir de page blanche, embrumé par l’alcool (imitation et gestuelle à l’appui). Des conseils précieux de Michael (“People want to dance, James !”), il fera naître la bombe “Slave To The Music“. Mes talons s’en souviennent encore…

Puis arrive le moment que j’attendais, la mélodie de “The Awakening” résonne dans la salle et je me sens décoller, emportée par les riffs de guitare électrique et la voix perchée de James.

Le concert se termine sur “Wonderful World”, concluant merveilleusement cette petite bulle de bonheur à l’anglaise.

 

© Mike Gray/LFI

 

Ci-dessous, la setlist pour info :

  1. Beautiful Life
  2. This Boy
  3. In My Dreams
  4. Say Something Now
  5. I Won’t Let You Go
  6. Up
  7. Broken Strings
  8. Person I Should Have Been
  9. Slave To The Music
  10. Nothing Ever Hurt Like You
  11. One Life
  12. Precious Love
  13. You Give Me Something
    Rappel :
  14. The Awakening
  15. Wonderful World

 

Enjoy and have a nice week-end !

 

 

 

[Live Report] Un peu de Charlie et beaucoup de Winston !

 

Attention, attention !

On ouvre grand ses esgouuuurdes… la nouvelle vient de tomber !

 

Je n'ai pas trouvé plus grand ^^

"Running Still" de Charlie Winston


Le troisième album de Charlie Winston est mûr, prêt à être lancé le 21 novembre prochain. Il s’intitule “Running Still” et comme dirait Charlie, “cramponnez-vous à vos chapeaux”, il reste maintenant 56 jours, 16 heures et des petites brouettes…

 

 

Pour patienter, vous pouvez commander sur Amazon ses deux premiers albums passés inaperçus en France “Mischifus” et “Make Way” (2007)  ou écouter son 1er single “Hello Alone” ci-dessous.

 

 

Le premier contient des chansons écrites pour un spectacle d’enfants et le deuxième contient pas mal de titres repris sur Hobo mais également des pépites inédites comme “Yes!” ou “Nine Year Old Friend”.

 

56 jours, c’est bientôt… On tient le coup, les enfants !