Célien Schneider

De la pop-folk venue de Suisse, naturellement…

 

Jolie découverte en ce 4 juillet !

 

Il s’agit de Célien Schneider, auteur-compositeur-interprète suisse qui m’a permis de commencer la journée toute en délicatesse avec son nouveau single pop-folk “A Better Lie”.
 

 

Un petit côté Robert Francis avec une voix plus romantique (oui c’est possible d’avoir une voix romantique !)

 

Célien Schneider

 

Je suis également tombée sur ce petit bijou acoustique : “Jupiter”.
 

Comme vous l’aurez compris, je vais m’empresser de me procurer l’album pour en savoir plus.

 

Ah oui, juste en passant… Ce soir, c’est un peu la Rolls Royce des concerts de ta vie qui se jouera à Bercy avec un américain encore peu connu du grand public… Bruce Springsteen.

C’est soi-disant à cause de lui que le blog que tu lis est né…

Je te jure, les rumeurs parfois… :p

 

[Live Report] James Morrison à l’Olympia – The Awakening

 

James ! James ! James !

Je bouillonne d’impatience, je tape des pieds, je saute sur place comme une idiote…

Comprenez-moi, James Morrison se trouve à quelques mètres de là, derrière cette grosse porte battante noire.

Et je n’en peux plus ! Deux ans que j’attends ! DEUX ANS !

 

 

Entre lui et moi, c’est devenu un rituel.

Tous les deux ans, le rendez-vous est fixé à l’Olympia. Il promet de me faire danser, de me faire chanter, de m’émouvoir …

D’autant qu’avec son dernier album “The Awakening”, il a rendu cette rencontre d’autant plus indispensable, le malin.

 

Alors que les lumières s’éteignent dans la salle et que le public retrouve son énergie, James s’amuse à tester mon sang-froid.

Ses musiciens, complices, font sonner les premières notes de “Beautiful Life” dans une intro soul à souhait.

Je me contorsionne, essayant de comprendre la raison des cris soudains de la foule et enfin, je l’aperçois !

James est à l’Olympia.

 

© Mike Gray/LFI

 

J’inspire à pleins poumons, je ferme les yeux et je plonge dans son univers, happée par sa voix rauque et groovy.

 

Je dois avouer que j’ai été épatée par son aisance.

Je ne parle pas de son aisance musicale car c’est une qualité que je lui reconnais depuis le début.

Non, je parle de son aisance scénique.

 

© Tous droits réservés par NikiTownsend

 

James se lâche, fidèle à lui-même.

Il n’en fait pas trop, ne cherche pas à être quelqu’un d’autre.

Il reste le gamin foufou que l’on avait rencontré il y a 5 ans sur la scène de l’Elysée Montmartre.

Espiègle, il joue avec son public.

 

Je passe un moment délicieux…

Je redécouvre la fraicheur des morceaux de son 1er album comme “This Boy”, “You Give Me Something” mais également des chansons de “Songs for you, Truths for me” avec notamment un “Broken Strings” à peine murmuré.

 

Sur “The Awakening”, mes coups de cœur ont été confirmés.

J’ai été secouée par la version live de “In My Dreams” où l’orchestration accentue encore l’émotion palpable de James.

 

© ABACA

 

Par ailleurs, pour la 1ère fois, l’artiste révèle son potentiel comique.

Il introduit “One Life” en nous contant des anecdotes cocasses sur sa fille de 3 ans, future mini superstar.

James nous explique ensuite sa rencontre imaginaire avec Michael Jackson, un soir de page blanche, embrumé par l’alcool (imitation et gestuelle à l’appui). Des conseils précieux de Michael (“People want to dance, James !”), il fera naître la bombe “Slave To The Music“. Mes talons s’en souviennent encore…

Puis arrive le moment que j’attendais, la mélodie de “The Awakening” résonne dans la salle et je me sens décoller, emportée par les riffs de guitare électrique et la voix perchée de James.

Le concert se termine sur “Wonderful World”, concluant merveilleusement cette petite bulle de bonheur à l’anglaise.

 

© Mike Gray/LFI

 

Ci-dessous, la setlist pour info :

  1. Beautiful Life
  2. This Boy
  3. In My Dreams
  4. Say Something Now
  5. I Won’t Let You Go
  6. Up
  7. Broken Strings
  8. Person I Should Have Been
  9. Slave To The Music
  10. Nothing Ever Hurt Like You
  11. One Life
  12. Precious Love
  13. You Give Me Something
    Rappel :
  14. The Awakening
  15. Wonderful World

 

Enjoy and have a nice week-end !

 

 

 

Let Lenny Rule ! [Concours]

 

Le 29 novembre, encore et toujours grâce à l’agent J*, je me rendais à Bercy pour assister au concert tant attendu de Lenny Kravitz !

Très honnêtement, j’ai eu du mal à cerner son dernier album “Black and White America“. Aussi, j’attendais avec impatience la version live de l’album pour m’en faire une idée.

 

J’en ai les genoux qui tremblent rien qu’en y repensant …

Ce soir-là, Lenny nous a fait hurler, vibrer, transpirer, pleurer, danser, courir et enfin rêver.

 

 

Après la 1ère partie de Raphaël Saadiq qui m’a paru duré une éternité, vient l’attente insoutenable de l’artiste, cinq minutes durant, dans le noir, aux aguets, dans les sifflements et les cris hystériques. 

 

Juste pour vous rappeler un peu le sex-symbol que c’est, hein, tout de même !

 

Et alors que retentissent les notes énergiques de “Come On Get It”, Lenny s’empare enfin de la scène et nous fait hurler de bonheur.

Cela faisait si longtemps …

Si longtemps que sa voix m’émouvait, que son déhanché me rendait muette, que ses mélodies caressaient mes journées.

Tant d’années à l’écouter, à l’imiter, à me délecter de sa voix musquée et pourtant si délicate …

 

 

Le flash-back a été total lorsqu’il a commencé à entonner “Always On The Run“, suivi de l’haletant “American Woman“.

Déjà en transe, j’ai définitivement perdu le fil du temps lors du roulement de tambour de “It Ain’t Over ‘Til It’s Over“.

 

 

J’ai, ensuite, agréablement été surprise par la version live de “Black and White America” qui m’a conforté dans l’idée qu’un Lenny live est toujours plus savoureux qu’un Lenny numérique. L’écran géant projetait un clip fait de photos d’enfance de Lenny et je dois avouer que cela renforçait le sens de cette chanson.

 

 

Puis, j’ai connu un moment de grâce, un vrai.

Un de ces moments où l’émotion est si forte que le simple son du piano vous retourne le coeur et vous arrache des larmes …

C’est à ce moment-là que j’ai compris que “Stand By My Woman” était la chanson la plus simple et la plus honnête qu’il avait écrite.

Une chanson qui parle de prise de conscience, de déclaration de la dernière chance,  de pardon et d’amour inconditionnel.

 

 

Rien que ça…  rien que ça pour me faire pleurer comme un bébé pendant 4 minutes 20 au milieu de 18 000 personnes…

J’ai adoré ce moment qui restera l’un des plus beaux que j’ai vécus en concert.

 

Après ça, c’est le flou total, je me souviens avoir chanté, avoir crié, avoir dansé, avoir tapé des pieds, avoir beaucoup ri mais ne me demandez pas ce qui s’est passé dans le détail, j’étais loin, très très loin !

 

 

J’ai émergé de mon trip musical lors de la dernière chanson …

Une fin de concert immortalisée par une ambiance survoltée et un “Let Love Rule” qui a duré près d’une demi-heure, Lenny ayant décidé de faire un tour du POPB dans le public (20 bonnes minutes le “petit” tour :p).

Imaginez-nous tous, aux aguets, prêts à courir, scrutant les spectateurs à la recherche de gardes de corps, de mouvements de foule pour nous indiquer sa position. Ce fut un final en apothéose pour ce concert qui fait désormais partie de mes références.

 

 

Bien que Lenny ait livré ses créations les plus prolifiques assez tôt dans sa carrière et bien que la qualité de ses œuvres n’ait pas toujours été égale au fil des années, il prouve chaque soir qu’il est un immense musicien et un véritable showman.

Je suis ressortie du concert gonflée à bloc, de l’énergie à ne plus savoir qu’en faire et avec une certitude : Lenny Kravitz est une bête, oui … mais une bête de scène !

 

 

A noter : l’excellente performance de ses musiciens dont l’incroyable Craig Ross qui ajoute par ses riffs une profondeur hors normes aux chansons de Lenny. Coup de chapeau également au saxophoniste Harold Todd pour ses envolées.

 


Je sais bien que vous êtes verts de jalousie et que vous auriez aimé être là…

Mais comme je suis absolument merveilleuse, je vous propose de me faire pardonner en vous faisant gagner le dernier album de Lenny, “Black and White America” qui en plus, truc de psychodingue, contient un cd bonus avec 6 vidéos dont deux acoustiques inédits. Si c’est pas un super cadeau, ça ! :p

 

A gagner : CD + Bonus

 

Pour remporter ce lot, vous n’avez qu’à poster un commentaire en bas de cet article en indiquant votre chanson préférée de Lenny Kravitz et en  m’expliquant pourquoi vous l’aimez. Le gagnant sera choisi par tirage au sort parmi les réponses complètes. Vous avez jusqu’au mardi 31 janvier minuit pour participer.

 

[Gagnant du Concours – Lenny Kravitz ]

Ce concours est terminé.

Pour découvrir le gagnant, c’est ici !

Merci à tous pour votre participation ! :D

Rendez-vous très prochainement pour de nouveaux concours et en attendant, n’oubliez pas de liker la page facebook du blog !